Monday, September 12, 2011

Télécharger le fichier PDF L'ère du vide : Essais sur l'individualisme contemporain, by Gilles Lipovetsky

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Les montants des collections de livres que nous proposons dans la liste de ces sites sont vraiment nombreux. De nombreux titres, de sujets variant ainsi que des motifs sont développés par des auteurs de variations. De plus, ils sont en outre libérés de différents auteurs sur la planète. Donc, vous ne pouvez pas trouver juste L'ère Du Vide : Essais Sur L'individualisme Contemporain, By Gilles Lipovetsky dans ce site. Beaucoup beaucoup de livres peuvent être vos amis pour toujours de bons départ de ce moment.

L'ère du vide : Essais sur l'individualisme contemporain, by Gilles Lipovetsky

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L'ère du vide : Essais sur l'individualisme contemporain, by Gilles Lipovetsky


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Retour, le livre qui se termine non seulement par être l'appareil ou d'une manière, mais aussi un vrai ami. Quel type de bon ami? Lorsque vous n'avez pas copains dans le seul quand vous avez besoin quelque chose qui vous accompagne lorsque le soir avant le repos, quand vous vous sentez vraiment tellement ennuyé quand en attendant les annonces, une publication pourrait vous avoir comme un véritable ami. Et parmi les vrais amis de recommander vraiment sur ce site sera le L'ère Du Vide : Essais Sur L'individualisme Contemporain, By Gilles Lipovetsky

L'ère du vide : Essais sur l'individualisme contemporain, by Gilles Lipovetsky

Détails sur le produit

Poche: 328 pages

Editeur : Gallimard (13 avril 1989)

Collection : Folio Essais

Langue : Anglais, Français

ISBN-10: 9782070325139

ISBN-13: 978-2070325139

ASIN: 207032513X

Dimensions du produit:

10,7 x 1,8 x 17,5 cm

Moyenne des commentaires client :

3.9 étoiles sur 5

12 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

15.731 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Malgré l'an de publication, le livre est plutôt contemporaine. Il décrit les relations des humaines "post-modernes" et comment nous sommes témoins d'un temps bouleversante si bien de la liberté, aussi du vide. 5 étoiles, bien sur.

Passionnante lecture . Belle dialectique. Excellent petit rappel sur la violence en fin de livre. Sur la violence dite"hard" de nos sociétés contemporaine et la desubstantialisation du vieux code de l'honneur et de la vengeance.

Un classique bavard. Pas inintéressant, pas intéressant non plus.Le style aussi a vieilli : beaucoup de reformulations se succèdent pour exprimer une même idée.Il est vrai que les idées exprimées ici ont été reprises partout et que, du coup, le livre a l'air de se répéter. Un comble pour un grand succès. Mais quelques décennies plus tard, la fraîcheur a disparu, ne reste que le goût de déjà -lu.

Il y a quelques années par ma petite fille qui a été surprise de voir ce livre chez moi!Il en a écrit d'autres, "aussi bien", m'a-t-elle dit!Ouf! j'ai failli passer à coté de quelques chose d'important!Il va falloir que je le lise avant de le conseiller à mon père!

Ce livre, L'ère du vide, de Gilles Lipovetsky, je l'ai peut être vingt fois ou même trente.Ecrit il y a près de 33 ans (!), l'auteur (français et sans conteste l'un des meilleurs sociologues international) a écrit noir sur blanc ce que serait notre société aujourd'hui. Voilà  pourquoi je le relie sans cesse : déjà parce qu'il est incroyablement bien rédigé et surtout pour vérifier qu'il ne s'est pas trompé. Or, il ne s'est pas trompé d'un iota. L’ère du vide décrit à merveille le nouvel air du temps que nous respirons, nous qui sommes désormais nourris aux mamelles de l'Indifférence, du Narcissisme et de la Séduction généralisés ; Avant beaucoup de grands penseurs autorisés à nous dire ce qu'il faut penser (et qui se vautrent donc à tous les coups), "Lipo" a vu que nos sociétés seraient à la fois très violentes en certains points géographiques et/ou sociaux typés ET bien moins violente dans leur ensemble ; que nous entrions dans un nouvel âge démocratique totalement soft, sans risque de déflagration totale MAIS AUSSI très incertain, et anxiogène.Des sociétés qui avancent toujours sur leurs deux pieds, jamais sur un seul : c'est la force de ce beau livre d'avoir vu que la montée de l'indifférence aux autres s'accompagne de la montée du bénévolat, que le recul de l’intérêt des gens pour la politique s'accompagne d'un plus durable engagement associatif (notamment des jeunes générations), que les valeurs morales sont défendues âprement alors même que le cynisme s'installe, tout comme l'individualisme des réseaux sociaux, bien réel, crée un lien social et une solidarité inattendus et tout aussi réels, tout comme le recul du fait religieux (qui allait ouvrir la porte aux charlatans-intello-businessmen apôtres de fausse introspection, tels le monstre à deux têtes chauves André-Ricard) allait aussi ouvrir la porte à des envies d'authenticité chez des gens en quête de sens à leur vie et qui se passent davantage de l'avis des gourous. On pourrait multiplier les exemples, mais je ne le ferais pas, par pur paresse (autre valeur de L'ère du vide dans laquelle nous baignons).Bref, j'adore ce livre, si puissant que l'auteur (que lui aussi j'aime beaucoup : humilité et intelligence, cocktail rare) n'en a pas écrit de si fort après, à l'exception de L'empire de l'éphémère et du Crépuscule du devoir, que je vois comme de "simples" prolongements à L'ère du vide. ​​Mais franchement, entre un Michel Serres qui raconte des conneries massives à longueur de (ses nombreux) livres ou un Emmanuel Todd qui pète les plombs tous les deux livres (une fois c'est bien, une fois il a fumé la moquette), Gilles Lipovestsky reste le seul vrai observateur lucide de la postmodernité dans laquelle nous sommes (oui, on peut traduire "postmodernité" mais "gros bordel zen", vous avez tout compris).

Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement. Et les mots pour le dire arrivent aisément.Or tel n'est pas le cas ici. Chaque phrase contient une multitude de concepts qui ne sont malheureusement pas développés et qui pourtant mériteraient un examen approfondi. L'auteur aime les grands mots (quatre ou cinq syllabes sinon plus) et se complaît dans leur utilisation. Il en résulte un verbiage imbuvable illustrant parfaitement le titre de l'oeuvre: l'ère du vide.

L'ère du vide, essai sur l'individualisme contemporain, est une peinture très fine de l'individu « postmoderne » (pomo) de la société néo-libérale. Le "bobo" occidental se retrouvera donc pleinement dans ces pages publiées en 1983, trois ans après « la culture du narcissisme » de Christopher Lasch auquel il se réfère largement et presque dix ans avant « la fin de l'histoire » de Francis Fukuyama. A cette époque, le type humain postmoderne semble devoir s'étendre irrésistiblement au monde entier pour peu que le soubassement consumériste et juridique néo-capitaliste nécessaire à son existence ait le temps de le précéder.La critique de l'auteur est équilibrée : le côté futile, versatile, hédoniste, inconstant, sceptique, douillet, paresseux, frileux, narcissique, conservateur -pour ne pas en dire plus- de l'individu postmoderne est le prix à payer pour sortir du tragique de l'histoire, du fanatisme religieux, des idéologies mortifères sources de toutes les guerres. Le modèle social qui lui est attaché est peut-être « le meilleur des mondes » ou au minimum "l'empire du moindre mal".Le problème de Lipovetsky est sans doute, à mon avis, d'avoir saisi une réalité locale (occidentale) et temporaire et d'en avoir fait -comme Fukuyama- l'avenir apaisé de l'humanité. La période suivant 2001 voit apparaître un horizon plutôt sombre : nonobstant la fin de la guerre froide, l'empire américain s'engage dans un militarisme démesuré au service de guerres généralisées perpétuelles, une crise économique mondiale née en son sein nous promet l'arrêt des fantasmes de croissance et de consommation illimitée pour les classes moyennes occidentales. Notre avenir pourrait bien passer du "meilleur des monde" de Huxley à celui du "1984" d'Orwell et ce monde là sera bien difficile à la survie du petit bourgeois postmoderne, dépourvu de tout filet de protection solidaire.

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